David : VAAD HARABANIM c’est la plus grande caisse de tzdaka en Israël soutenue par les plus grands rabbanims d’Eretz Israël. Et d’ailleurs c’est pour ca que quand on fait un don aux nécessiteux par l’intermédiaire de Vaad HaRabanim c’est l’assurance des tzedaka qui est bien redistribuée dans les règles de l’art.
Alloj : David ça vas ?
David : BH’ et toi ?
Alloj : Ca vas, si je te dis Pourim et si je te dis les 4 Mitzvots de Pourim tu me dis …?
David : Les 4 M alors c’est :
- Mikra Meguila la lecture de la Méguila,
- Michloah Manot envoyer des mets à son prochain,
- Matanot Laevyonim donner un don à la Tzedaka
- Michté Vesimha se réjouir avec un repas de fêtes.
Alloj : Si tu me dis Matanot Laevyonim on pense tout de suite à Vaad HaRabanim
David : Bien évidemment, en transmettant vos matanot Laevyonim au Vaad HaRabanim, vous vous assuré que les Matanot Laevyonim sont redistribués le jour même de Pourim pour la Mitzva de Fête, vous vous assurez que c’est redistribuer à des familles qui sont réellement dans le besoin et c’est l’assurance que c’est par une caisse de Tzedaka dirigée par les grands de la génération. Et ce qui est extrêmement important c’est de donner aux nécessiteux le prix d’un repas pour que eux aussi puissent accomplir la mitsva de michté vesimha le repas de la fête.
Alloj : Si tu me dis Matanot Laevyonim on pense tout de suite à Vaad HaRabanim
David : Bien évidemment, en transmettant vos matanot Laevyonim au Vaad HaRabanim, je peux vous assuré que les Matanot Laevyonim sont redistribués le jour même de Pourim pour la Mitzva de Fête, je peux vous assuré que c’est redistribué à des familles qui sont réellement dans le besoin et c’est l’assurance que c’est par une caisse de Tzedaka dirigée par les grands de la génération et ce qui est extrêmement important c’est de donner aux nécessiteux le prix d’un repas pour que eux aussi la mitsva de miche vesimha le repas de la fête.
Alloj : Quand tu me dis Michté vesimha, le repas de la fêtes est ce qu’on a vraiment la tête à faire la fête aujourd’hui ?
David : Alors c’est vrai que cette année c’est très difficile, suite à la guerre on a nos otages qui sont à Gaza, on a nos soldats qui sont à Gaza, et qui se battent, on a de lourdes pertes et au Vaad Harabanim on le ressent, pas seulement les pertes mais on ressent aussi, un impact financier à cette guerre, beaucoup de personnes on perdu leur travail, beaucoup de personnes on de grandes difficultés financières et malheureusement on reçoit toutes ses demandes.
Alloj : Donc on souhaite, David, un Pourim sameah, à tout le peuple d’Israël, et également aux Français qui nous soutiennent et qui soutient le Vaad Harabanim
David : Un grand Pourim Saméah, et qu’il soit Sameah heureux pour tous le monde ! que cette année déjà nous puissions voir une grande délivrance BH’.